Le départ de la course s’est fait au Cap Sandtop, marquant la fin de la Transanticostienne. J’ai ensuite divisé le parcours en cinq sections, avec des arrêts en camping en chemin — en prenant soin d’obtenir toutes les autorisations nécessaires. Pour assurer mon ravitaillement, j’avais préalablement déposé quatre sacs à des endroits stratégiques.
Les rivières et ruisseaux étaient particulièrement secs, ce qui a rendu l’accès à l’eau difficile sur de longues distances. En raison de la fermeture de la route à la fin du parcours pour des travaux, j’ai dû emprunter un détour par la route de l’Aéroport, ce qui n’a pas modifié significativement la distance totale.
J’ai croisé très peu de gens ou de véhicules durant l’aventure — les cerfs et les renards étaient nettement plus nombreux! Pour des raisons de sécurité, j’étais équipé d’un Garmin InReach, me permettant de rester en contact avec un point de référence sur l’île en cas de besoin.
C’est un parcours exceptionnel et une aventure unique que je recommande vivement!